Politique d’éco-conception

Hardis Group a entamé une démarche d’amélioration de ses services numériques dans le cadre de son engagement pour un numérique plus responsable.

Dans ce cadre, ce site Internet a été pensé et développé dans une logique d’écoconception. 

Stratégie mise en œuvre et objectifs en matière de réduction ou de limitation des impacts environnementaux

Le numérique responsable décline les 3 axes du développement durable : écologie/société/économie. Dans le cadre de la refonte de ce site, nous nous sommes fixés 3 objectifs pour répondre aux exigences de l’écoconception :

  • Créer un site léger (en termes de code mais également de visuels et de fonctionnalités) avec moins de besoin de stockage et de transfert de données. Le but est d’économiser l’énergie nécessaire pour faire fonctionner le site et d’allonger la durée de vie du matériel.
  • Faciliter l’accès à tous les utilisateurs en respectant les exigences d’accessibilité et de protection des données personnelles.
  • Fournir un site internet utile et pérenne avec une navigation facilitée et non intrusive et surtout un site facile à entretenir.

Afin de répondre à ces objectifs nous avons sélectionné des prestataires orientés vers un numérique responsable. Nous avons mis en place de bonnes pratiques d’écoconception selon les recommandations du référentiel général d’écoconception de services numériques (RGESN) publié par la Mission Interministérielle du Numérique Responsable.

Nous avons agi aussi bien sur le plan technique que éditorial.

Les réflexions menées nous ont permis de garantir un périmètre fonctionnel adapté au juste nécessaire et de ne pas développer de fonctionnalités et des contenus inutiles ou à peu de valeur ajoutée.

Sur le plan technique, nous avons utilisé des briques logicielles standard et des technologies maintenables afin d’assurer un allongement de la durée de vie du site.

Nous avons mené une politique éditoriale responsable en réduisant le nombre de pages présentes sur le site ainsi que le nombre de caractères au sein des pages elles-mêmes. Les textes se veulent concis tout en étant clairs et complets. Nous avons limité le nombre d’images et de vidéos afin d’alléger le chargement des pages.

Liste non exhaustive des actions menées : 

  • Travail sur l’UX (expérience d’utilisation) en proposant d’accéder aux contenus de différentes manières
  • Utilisation de composants d’interface dotés d’une empreinte minimale
  • Navigation la plus intuitive possible pour réduire le temps passé à trouver une information
  • Contrôle du nombre de requêtes serveurs astreintes par écran
  • Contrôle du poids des ressources maximum astreint par écran
  • Tous les contenus sont consultables en situation de mobilité : le site s’adapte à toutes les tailles d’écran
  • Compression des images et vidéos
  • Utilisation de protocoles à jour (HTTPS, TLS, IPv6…)
  • Mise en place d’un cache CMS et d’un cache objet persistant Redis

Résultat de notre audit RGESN

Le site https://www.hardis-group.com/ est en grande partie conforme en regard des critères du Référentiel Général d’Écoconception des Services Numériques (RGESN) version 1 (2024).

Le taux de conformité général actuel du site est évalué à 93 %

Hardis Group vise une mise en conformité progressive de ses sites internet via une démarche d’amélioration continue. Après sa dernière refonte à l’automne 2024, le site a fait l’objet d’un audit de conformité conduit en janvier 2025 et accompagné d’une feuille de route d’améliorations. Le score d’avancement était de 83 % en janvier 2025. Des améliorations ont été réalisées tant au niveau technique que des contenus éditoriaux, conduisant au nouveau score d’avancement de 93 %.

Télécharger l’audit de conformité (PDF – 128 Ko)

Score d’avancement par thématique du RGESN :

Alternative textuelle : se référer au tableau de données affiché après l'image
CritèresConformeNon applicableNon conforme
Stratégie910
Spécifications1000
Architecture331
UX/UI1220
Contenus711
Frontend312
Backend220
Hébergement820
Algorithmie070

Référent en écoconception numérique

Pour la maîtrise d’œuvre (MOE) : Jean-Baptiste AUDRAS – Directeur Technique et Responsable Qualité chez Whodunit.

Échantillon d’écrans audités

L’échantillon retenu pour analyse se veut représentatif du site et de ses fonctionnalités.

Conformité RGESN : actions menées critère par critère

1.1 Le service numérique a-t-il été évalué favorablement en termes d’utilité en tenant compte de ses impacts environnementaux ?

Outre le fait de présenter les activités et services du Groupe Hardis et de présenter les dernières innovations du groupe notamment en matière d’éco-conception et de numérique responsable ainsi que de proposer des ressources associées, le service numérique répond a minima à l’objectif « Consommation et production responsables » par le fait de proposer des services et ressources orientés sur une utilisation responsable de la technologie, comme indiqué par la page « Numérique responsable » du site : https://www.hardis-group.com/tech/numerique-responsable/.

1.2 Le service numérique a-t-il défini ses cibles utilisatrices, les besoins métiers et les attentes réelles des utilisateurs cibles ?

Les cibles ont été définies dès le départ du projet. Elles sont au nombre de 3 et le site est entièrement axé autour de ces trois profils : 

  1. Hauts dirigeants et décisionnaires de tous les métiers. Moyennes et grandes entreprises. En savoir plus sur le groupe Hardis et consulter des contenus à valeur ajoutée (livre blancs, podcasts, autres ressources).
  2. Éditeurs de solutions et autres potentiels partenaires.En savoir plus sur le groupe Hardis et consulter des contenus à valeur ajoutée (livre blancs, podcasts, autres ressources).
  3. Chercheurs d’emploi et étudiants. En savoir plus sur le groupe Hardis et consulter les offres d’emplois.

1.3 Le service numérique a-t-il au moins un référent identifié en écoconception numérique ?

Pour la maîtrise d’œuvre (MOE) : Jean-Baptiste AUDRAS – Directeur Technique et Responsable Qualité chez Whodunit.

1.4 Le service numérique réalise-t-il régulièrement des revues pour s’assurer du respect de sa démarche d’écoconception ?

Un atelier initial a été organisé afin de fixer les objectifs du site en matière d’éco-conception et des autres critères de la qualité web (accessibilité, gestion des données personnelles…).

Pour la partie revue de conception technique, un plan fonctionnel a été réalisé et validé avec l’ensemble des parties prenantes, avec pour objectif de bâtir l’architecture technique du site. Les enjeux environnementaux ont été pris en compte au niveau de l’architecture comme à tous les niveaux du process de production du site.

Pour la partie revue de code, celle-ci a été réalisée par Jean-Baptiste Audras, le CTO de Whodunit, lors de chaque livraison. Les livraisons ont eu lieu tous les 15 jours en fin de sprint (process de production itérative). Ces revues de code avaient pour but de s’assurer de la maintenabilité du site produit, et de sa conformité aux critères suivants :

  • Accessibilité
  • Performances et sobriété numérique
  • SEO
  • WordPress Coding Standards
  • Responsive/fonctionnement de l’interface front
  • Expérience d’administration du site
  • Sécurité du code produit et de l’installation
  • Conformité RGPD / ePrivacy

La checklist Opquast a par ailleurs été suivie, et côté MOE, presque toutes les personnes étant intervenues sur le site sont certifiées Opquast.

1.5 Le service numérique s’est-il fixé des objectifs en matière de réduction ou de limitation de ses propres impacts environnementaux ?

Un diagnostic de performances du site est effectué à chaque fin de sprint avec l’outil Lighthouse proposé par Google (Objectif 90/100).

Enfin, pour limiter ses propres impacts, le service se donne pour objectif un poids et un nombre de requêtes maximum par page (5 Mo / 50 requêtes).

1.6 Le service numérique collecte-t-il la donnée de façon responsable et raisonnée ?

Lors de la phase de conception du site, la liste complète des données collectées a fait l’objet d’échanges afin de déterminer les données pertinentes dans le cadre de l’amélioration continue du site. Les modes de recueil de données sont respectueux des libertés individuelles, ne sont jamais transmises à des tiers et les services de collecte le plus vertueux possibles sont utilisés (exemple avec l’outil de mesure d’audience Matomo).

1.7 Le service numérique a-t-il recours à un niveau de chiffrement adapté à ses besoins ?

Les seules données nécessitant un chiffrement sont les identifiants de connexion des contributeurs. Le chiffrement de ces données répond aux standards en vigueur.

1.8 Le service numérique a-t-il mis en place des efforts d’open source ?

Le service numérique repose essentiellement sur des briques open source. La solution de CMS retenue, et par extension le thème WordPress développé, sont sous licence GPL.

2.1 Le service numérique a-t-il défini la liste des profils de matériels que les utilisateurs vont pouvoir employer pour y accéder ?
2.2 Le service numérique est-il utilisable sur d’anciens modèles de terminaux ?
2.3 Le service numérique est-il utilisable via une connexion bas débit ou hors connexion ?
2.4 Le service numérique est-il utilisable sur d’anciennes versions de système d’exploitation et de navigateurs web ?

Les types de terminaux (pc, smartphone) ont été identifiés lors de la phase d’UX Design et consignés. Le service s’impose uniquement une compatibilité avec les navigateurs années N à N-3.

Configuration minimale requise pour accéder au site : 

  • Type, année de construction ou versions cibles des équipements utilisateurs supportés : tout équipement mobile datant de 2025 (année N-10) ou plus.
  • Connexion minimum pour un accès et une utilisation confortable du service : 3G en mobile et 512 Ko en connexion fixe.
  • Adaptation à différentes tailles d’écran : le site est entièrement responsive, le minimum de taille d’écran recommandé étant de 320 pixels de large.

2.5 Le service numérique s’adapte-t-il à différents types de terminaux d’affichage ?

Le site répond bien aux exigences du Responsive Web Design et s’affiche aussi bien sur un écran de PC que sur tablette ou mobile.

Les tests limites montrent que l’interface ne présente aucune dégradation en réduisant la résolution jusqu’à 300 pixels de large.

2.6 Le service numérique a-t-il été conçu avec une revue de conception et une revue de code comprenant parmi ses objectifs la réduction des impacts environnementaux de chaque fonctionnalité ?

Une revue est organisée à chaque fin de sprint.

Les performances de chaque page sont testées avec Lighthouse.

2.7 Le service numérique a-t-il prévu une stratégie de maintenance et de décommissionnement ?

Une prestation de Tierce Maintenance Applicative est en cours.

Du point de vue technique, le site s’appuie sur des technologies permettant de gérer simplement la désactivation de composants qui ne seraient plus utilisés et l’archivage de contenus obsolètes.

2.8 Le service numérique impose-t-il à ses fournisseurs de garantir une démarche de réduction de leurs impacts environnementaux ?

Des objectifs de performances ont été définis de manière globale dans le cadre du projet et font l’objet d’un suivi mensuel des indicateurs liés. Les fournisseurs associés (notamment hébergeur) sont sollicités en cas de manquement àces indicateurs de performance.

2.9 Le service numérique a-t-il pris en compte les impacts environnementaux des composants d’interface prêts à l’emploi utilisés ?

Le thème WordPress déployé a été développé sur mesure pour réduire au maximum ses impacts environnementaux.

Les différents composants d’interface sont open source et optimisés.

2.10 Le service numérique a-t-il pris en compte les impacts environnementaux des services tiers utilisés lors de leur sélection ?

Les services tiers ont fait l’objet de benchmarks lors de leur sélection :

  •  jQuery est une bibliothèque Javascript reconnue et utilisée par le cœur du CMS WordPress. Le fichier chargé est optimisé et minifié.
  • Matomo est le service utilisé dans le cadre des mesures d’audience, pour une meilleure prise en compte de la confidentialité des données personnelles.

S’il n’est pas ici fait spécifiquement mention d’impacts environnementaux, il est avéré qu’en phase de développement, la performance pure a une incidence directe sur la consommation énergétique du service numérique (équipements utilisateurs, infrastructures réseau, centres de données).

L’amélioration de la performance web pure mène presque toujours à une amélioration de la performance web environnementale.

3.1 Le service numérique repose-t-il sur une architecture, des ressources ou des composants conçus pour réduire leurs propres impacts environnementaux ?

D’une manière générale, les dépendances (peu nombreuses) du service numérique sont engagées dans une démarche d’amélioration continue de leurs propres performances, ce qui contribue à alléger les impacts environnementaux directs (surconsommation énergétique) et indirects liés à leur utilisation.

3.2 Le service numérique fonctionne-t-il sur une architecture pouvant adapter la quantité de ressources utilisées à la consommation du service ?

L’architecture du service numérique n’est pas en capacité de faire correspondre la quantité de ressources utilisée et la consommation effective de ces ressources de façon automatique, mais l’hébergeur est en capacité de le faire de façon manuelle après validation.

L’architecture technique de l’hébergeur Datacampus est capable d’émettre un monitoring de fréquentation du service qui permet au jour le jour de faire évoluer la configuration technique du serveur et des ressources allouées en fonction des besoins, après validation par les équipes du groupe Hardis.

3.3 Le service numérique est-il en mesure de supporter l’évolution technique des protocoles ?

Les protocoles de chiffrement et d’échange de données sont conformes et le site utilise IPv6.

3.7 Le service numérique optimise-t-il la sollicitation des environnements de développement, de préproduction ou de test en fonction de ses besoins ?

L’équipe chargée de la maintenance à fait le choix de conserver un environnement de pré-production toujours actif pour faciliter les mises à jour en continu.

4.5 : Le service numérique utilise-t-il majoritairement des composants fonctionnels natifs du système d’exploitation, du navigateur ou du langage utilisé ?

Le service numérique utilise majoritairement des composants fonctionnels natifs au navigateur web et ne tente pas d’en recréer de toute pièce.

4.7 Le service numérique opte-t-il pour les choix les plus sobres entre le texte, l’image, l’audio ou la vidéo, selon les besoins utilisateurs ?

Les contenus vidéo servent à incarner le contenu proposé (vidéo d’extraits de témoignages de personnes, vidéos de présentation d’un service). La proportion de contenu vidéo semble pertinente en regard de la quantité très importante de contenus textuels du site.

4.15 Le service numérique fournit-il à l’utilisateur un moyen de contrôle sur ses usages afin de suivre et de réduire les impacts environnementaux associés ?

Le service ne propose pas spécifiquement de moyen de contrôle sur lui-même, mais l’objet du site est précisément d’accompagner l’usager dans la réduction de ses impacts environnementaux.

5.2 Le service numérique propose-t-il des images dont le niveau de compression est adapté au contenu et au contexte de visualisation ?

La plupart des images sont optimisées, et dans la grande majorité des cas chargées en WebP avec un fallback avec l’image d’origine.

6.1 Le service numérique s’astreint-il à un poids maximum et une limite de requête par écran ?

Le service s’astreint idéalement aux bornes suivantes : 

  • Nombre maximal de requêtes : 40
  • Poids total maximal : 4 Mo
  • Temps de chargement complet maximal : 4s

Résultats (partiellement conforme) : 

  • Page d’accueil : 42 requêtes ; 3.5 Mo ; Temps de chargement : 1.30 s — non conforme
  • Page type : 30 requêtes ; 3.2 Mo ; Temps de chargement 4.04 s — non conforme
  • Page service : 36 requêtes ; 3.3 Mo ; Temps de chargement 1.27 s — conforme
  • Liste d’articles : 38 requêtes ; 3.6 Mo ; Temps de chargement 1.71 s — conforme
  • Article seul : 26 requêtes ; 1.7 Mo ; Temps de chargement 457 ms — conforme
  • Résultats de recherche : 30 requêtes ; 3.2 Mo ; Temps de chargement 1.68 s — Conforme
  • Espace carrières : 31 requêtes ; 3.2 Mo ; Temps de chargement 1.50 s — Conforme
  • Offre seule : 24 requêtes ; 1.6 Mo ; Temps de chargement 1.17 s — Conforme

Tous les écrans de l’échantillon ne sont pas conformes aux objectifs.

6.2 Le service numérique utilise-t-il des mécanismes de mise en cache pour la totalité des contenus transférés dont il a le contrôle ?

Plusieurs niveaux de cache sont à l’œuvre (au niveau du CMS + au niveau du serveur web).

Les ressources du domaine ont un en-tête Cache-Control avec un valeur max-age=31536000, ce qui signifient qu’elles doivent être mises en cache côté client pour une durée d’un an (31536000 / 3600 = 8760 / 24 = 365 jours).

8.1 Le service numérique utilise-t-il un hébergement ayant une démarche de réduction de son empreinte environnementale ?

L’hébergeur Datacampus présente ses démarches sur une page dédiée de son site, et dispose d’un certificat Énergie Verte / Green Energy.

Datacampus, en tant qu’hébergeur internet engagé dans la préservation de l’environnement, mesure et suit régulièrement plusieurs indicateurs d’impacts environnementaux liés à son activité. Parmi ces indicateurs figurent : la consommation énergétique des centres de données, exprimée en kilowattheures (kWh), qui permet d’évaluer l’efficacité énergétique de ses installations et de ses équipements ; le taux d’utilisation d’énergies renouvelables pour alimenter ses centres, reflétant sa volonté de recourir à des sources d’énergie durables ; le ratio de refroidissement des centres de données (PUE, Power Usage Effectiveness), qui mesure l’efficacité des systèmes de refroidissement en comparant la consommation totale d’énergie à celle consommée uniquement par les équipements informatiques ; et enfin, le taux de réutilisation, de recyclage ou de valorisation des équipements en fin de vie, qui témoigne de son engagement dans une économie circulaire et la réduction de l’impact environnemental lié à la production de déchets électroniques. Ces indicateurs permettent à Datacampus de suivre et d’améliorer continuellement ses performances environnementales, en accord avec sa politique éco-responsable.

8.2 Le service numérique utilise-t-il un hébergement qui fournit une politique de gestion durable des équipements ?

L’hébergeur Datacampus dispose d’une politique de gestion durable de ses équipements : cette société indique mettre en œuvre des pratiques innovantes et éco-responsables pour optimiser l’utilisation et le recyclage de ses matériels. La stratégie mise en place repose sur plusieurs axes : l’achat d’équipements éco-conçus, la réduction de la consommation d’énergie, le prolongement de la durée de vie des appareils grâce à la maintenance et la réparation, ainsi que le recyclage responsable des équipements en fin de vie. Par ces actions, Datacampus cherche à réduire son empreinte écologique et à promouvoir un modèle durable et respectueux de l’environnement dans le secteur des technologies de l’information.

8.3 Le service numérique utilise-t-il un hébergement dont le PUE (Power Usage Effectiveness) est minimisé ?

Le PUE de l’hébergement (Datacampus) est de 1,004.

8.4 Le service numérique utilise-t-il un hébergement dont son WUE (Water Usage Effectiveness) est minimisé ?

Le WUE de l’hébergement (Datacampus) est inférieur à 2000 litres/an.

8.5 Le service numérique utilise-t-il un hébergement dont l’origine de consommation d’électricité est documentée et majoritairement d’origine renouvelable ?

Datacampus indique la part d’énergie renouvelable de sa consommation : 100 % d’énergie renouvelable hydroélectrique française.

8.6 Le service numérique utilise-t-il un hébergement dont la localisation géographique est cohérente avec ses activités et qui minimise son empreinte environnementale ?

Datacampus héberge à 100% en France (région de Poitiers/Futuroscope) sans transferts ou sous-traitance a l’étranger.

8.7 Le service numérique utilise-t-il un hébergement qui traite efficacement la chaleur produite par les serveurs ?

Aucune chaleur produite (refroidissement par immersion).

8.10 Le service numérique tient-il compte des contraintes externes pour minimiser l’impact environnemental des calculs et transferts de données asynchrones ?

Le service numérique n’inclut pas de calculs ou transferts de données asynchrones.